Ça y est, Sven est passé au contrôle technique. Nous l’avons récupéré milieu du mois de Septembre et nous avons finalement pu nous lancer dans l’aménagement de ce qui va devenir notre maison pendant les prochains mois.
Pour rappel, nous avons acheté notre fourgon complètement brut, sans aucun aménagement. Un avantage dans le sens où nous voulions l’aménager à notre goût et en faisant de notre mieux. Le revers de la médaille, c’est que bien entendu, il y a plus de travail.
Une fois de retour sur son parking, nous nous sommes donc lancés directement dans les travaux. Cependant, avant de passer à l’aménagement à proprement parler, il a fallu commencer par l’isolation.
L’isolation des fourgons est un peu sujet à controverse, et chacun y va de son avis ! Il y a les pros et les cons. En fait, comme pour tout, nous pensons que cela dépend de l’utilisation que l’on a de son van. En ce qui nous concerne, après des heures à épier les expériences des « vanlifers », nous avons finalement pris la décision de l’isoler un minimum.
Alors si vous vous demandez pourquoi isoler un fourgon, comment nous avons fait, combien ça coûte, ou bien si vous êtes simplement curieux, vous êtes au bon endroit et nous vous partageons notre expérience ci-dessous.
Isolation de notre van : Pourquoi ?
Comme expliqué ci-dessus, la question est largement débattue au sein de la communauté « vanlifer ». Cette question était d’autant plus pertinente dans notre cas, vu que Sven possède beaucoup de vitres (ce qui est l’argument principal des contres) mais aussi parce que nous allons débuter notre périple au cours de l’hiver …
Nous avons pris en compte trois facteurs pour notre isolation : la chaleur bien sûr, mais aussi la condensation (pour l'isolation thermique) et enfin, le bruit (pour l'isolation phonique).
- Pour ce qui est de la chaleur nous ne sommes pas dupes. L’isolation a ses limites en terme de pertes de chaleur, notamment au travers des vitres. Cependant isoler la carrosserie et le sol ne peut pas faire de mal pour couper un peu le sentiment de froid. Nous nous chargerons également de réaliser des rideaux isolants pour les multiples fenêtres.
- Au niveau de la condensation, celle-ci peut vite devenir un enfer dans un van. Elle implique un taux d’humidité important à l’intérieur et les inconvénients qui vont avec. Impossibilité de faire sécher quoi que ce soit, moisissures, petites gouttes d’eau qui retombent du plafond, … Pour l’éviter au maximum il y a deux choses à faire selon nous : isoler et avoir une bonne aération/ventilation du van.
- Enfin, l’isolation phonique est plus souvent négligée ou considérée comme un bonus, pourtant elle peut s’avérer confortable (notamment lorsqu’il pleut à grosses gouttes sur la carrosserie pendant la nuit).
Une fois ces 3 principes et leurs limites en tête, notre choix d’isoler a été guidé par la saison de voyage et l’utilité de notre van :
Tout d’abord nous allons voyager en hiver, une période qui va favoriser l’apparition de condensation et où il fait plus froid. Isoler le van pour la chaleur aura comme on l’a dit ses limites mais clairement cela apportera du confort notamment au niveau du sol.
Ensuite, nous allons passer plusieurs semaines d'affilée dans le van. Il n’était pas question pour nous de vivre dans une humidité constante et nous étions prêts à (presque) tout pour limiter la condensation sans devoir ouvrir les fenêtres en grand toute la journée.
Notre choix d’isolation devait donc agir, un minimum, sur chacun de ces paramètres.
Isolation de notre van : Comment ?
De nouveau cela part un peu dans tous les sens au niveau des expériences que nous avons lues. Nous avons donc considéré plusieurs options même s'il est difficile de trouver la combinaison parfaite en tenant compte des contraintes du fourgon aménagé. En effet isoler un van ce n’est pas isoler une maison, et soyons réalistes, l’isolation n’y sera jamais parfaite.
De plus, vu la taille restreinte de l’espace de vie, chaque cm compte et l’épaisseur de la structure isolante est importante. Ensuite un van se déplace, tangue et vibre … l’isolation est susceptible de bouger ou de se tasser (notamment les laines). Enfin c’est un environnement humide, susceptible de faire moisir les matériaux ou même gonfler le bois.
Dans notre petit T3, nous avons considéré la taille de la structure comme un élément clé, l’espace n’y étant déjà pas foison (surtout en largeur). Il a donc fallu trouver un compromis entre des matériaux efficaces, légers et pas trop encombrants pour ne pas encore devoir raboter, par exemple, notre lit (qui ne fera que 1m20 de large).
Après nos multiples recherches, nous avons choisi ce qui, selon nous, correspondait le mieux à nos critères d’isolation : le liège en rouleaux (collé à la carrosserie), les panneaux de polystyrène extrudé (coincés entre les tasseaux de structure), le tout recouvert de contreplaqué 5mm sur les murs et de lambris 8 mm au plafond. Et bien sur, nous avons posé un champignon de toit et une grille de ventilation à hauteur du sol afin de ne pas oublier l’aération et de permettre une bonne ventilation de l’intérieur de Sven.
Le liège collé :
Pourquoi le liège collé ?
Les + :
Facile à installer et à découper : En réalité, c’est du chipotage, mais n’importe qui est capable de le faire avec un peu de patience !
Isolant imputrescible avec un rôle de régulateur d’humidité. Cela permet d’éviter la condensation qui pourrait se former directement sur la tôle.
Très bon isolant phonique
S’adapte à tous les petits recoins
Les - :
Son prix : le liège en tant que tel a déjà un certain prix (mais il reste relativement raisonnable), mais c’est surtout la colle, qui en plus de ne pas être la plus écologique, n’est certainement pas la moins chère…
Comment avons-nous posé le liège ?
Alors là, cela nous a pris du temps… Beaucoup de temps. Et de la patience surtout ... beaucoup de patience !
Nous avons choisis d’appliquer le liège en rouleaux, avec une colle contact au néoprène (pas la plus écologique, mais la plus efficace d’après notre expérience), directement sur la tôle de Sven. Pour cela, rien de compliqué : on encolle la tôle et on encolle le liège. Il faut laisser légèrement sécher la colle avant de mettre les deux surfaces en contact. Ensuite, on positionne la bande de liège là où on le souhaite et le tour est joué ! Attention cependant : il n’est pas facile de décoller et repositionner le liège, il faut donc y aller progressivement afin de bien maroufler et d’éviter de déchirer le liège, qui est assez fragile.
Le but est de recouvrir entièrement la surface métallique afin d’éviter les ponts thermiques. Nous avons donc recouvert les parois latérales d’une couche de 2 mm de liège et le sol et la rehausse moteur d’une couche de 4 mm de liège (2x2 mm). Nous avons longuement hésité entre les rouleaux de liège de 2 mm et de 4 mm et nous ne regrettons pas notre choix du 2 mm. Il s’adapte parfaitement aux petits recoins et peut se plier assez facilement (même jusque 180° en étant délicat).
Nous avons par contre été surpris par la consommation de colle au Néoprène. C’est au final, elle qui va plomber le budget… Au total, nous avons utilisé environ 7 à 8l de colle … Quand nous nous sommes aperçus de la quantité de colle dont nous allions avoir besoin (nous avions d’abord fait un essai avec un petit pot), nous avons essayé une alternative qui s’est révélée être une catastrophe : une colle type "fix all", beaucoup plus pâteuse. Bien qu’elle « colle » également le liège, elle ne permettait pas une application aussi facile et ne prenait pas « immédiatement », et surtout elle nécessitait une quantité encore plus importante tout en faisant des taches assez facilement … Nous avons donc abandonné cette option et nous sommes retournés à notre premier choix : la colle contact liquide au néoprène. Ça a donc fini par faire mal au portefeuille ...
Du coup, si vous avez trouvé une colle alternative qui fonctionne bien, n’hésitez pas à nous en faire part !
En conclusion, la pose du liège est plutôt un exercice de patience et de minutie (tout ce que Quentin aime …) mais elle peut être réalisée par n'importe qui.
Alternatives au liège en rouleaux ?
De nombreux vanlifers choisissent l’alternative du liège projeté qui, nous devons l’avouer, parait simplissime niveau application comparé au liège en rouleaux. Cependant, cela demande du matériel que nous n’avions pas à disposition et nous ne souhaitions pas particulièrement devoir acheter ou louer celui-ci. Mais bien sûr, cela reste une option à parcourir si vous cherchez vous-même, comment isoler votre van.
2. Le Polystyrène Extrudé :
Pourquoi le polystyrène extrudé ?
Il se présente sous la forme de panneau de 2 cm d’épaisseur. Nous sommes venus les fixer directement au-dessus du liège, bloqués entre des tasseaux de bois qui forment la structure de nos parois.
Les + :
Son prix
Facile à installer et à découper : De nouveau, un peu de chipotage pour bien les fixer et éviter qu’ils bougent, mais à la portée de tous.
Bonne isolation thermique
Bonne résistance à l’humidité et au tassement
Son poids : extrêmement léger
Les - :
Son caractère peu écologique
Il n’est pas ignifuge
Comment avons-nous posé le polystyrène extrudé ?
A. La pose des tasseaux
Une fois la pose de liège terminée, nous sommes donc passés au montage de la structure qui va porter nos parois mais aussi dans laquelle nous allons bloquer les plaques de polystyrène, notre deuxième isolant.
Pour ce faire nous avons choisi des tasseaux de bois (en pin, traités pour l’extérieur) de 28x18 mm
Nous avons décidé de visser les tasseaux principaux dans les renforts du van pour être sûrs que cela tienne bien. Nous n’allons pas cacher que les premiers trous dans le fourgon ont été un peu effrayants à percer, nous y avons d’ailleurs laissé plusieurs mèches de foreuse … En effet, certaines parties des renforts étaient parfois très épaisses : malgré l’utilisation de mèches à tôle, celles-ci se brisaient. Après 2 mèches cassées, nous avons finalement opté pour une mèche en inox (au lieu des mèches à tôle en acier). Celle-là n'a jamais cassé.
Seuls les tasseaux principaux ont été vissés dans la carrosserie pour éviter de trop percer celle-ci et de permettre à la rouille de s’y faufiler plus facilement. Les autres ont ensuite été collés et vissés entre-eux.
B. La pose du polystyrène :
Nous avons choisi un polystyrène extrudé en panneaux de 2 cm d’épaisseur qui se coupe facilement au cutter. Il nous a simplement fallu mesurer les espaces exacts entre nos montants et ensuite venir insérer les plaques entre les tasseaux. Nous en avons mis partout aussi bien sur le sol que sur les murs et le plafond.
Attention que le polystyrène ne supporte pas bien les colles, de même que les papiers collants qui ne tiennent pas dessus (en tout cas, pas sur les panneaux que nous avons achetés). A certains endroits nous avons donc rajouté des cales en bois pour être sûrs que les panneaux ne bougent pas en roulant.
Alternatives au polystyrène ?
Notre première intention était de partir sur un isolant multicouche à la place du polystyrène. Cependant, pour que l’isolation soit vraiment efficace avec cet isolant, il est nécessaire de laisser une lame d’air de 2 cm de chaque côté du multicouche. Vu la largeur de Sven (159 cm, à l'endroit le plus large), cela nous faisait perdre au moins 4 cm de chaque côté, à ajouter au liège, aux tasseaux et au contreplaqué. Pour nous, c’était perdre une trop grande quantité d’espace à ce niveau là, et nous y avons donc renoncé. Cependant, si nous avions eu d’avantage de largeur à l'intérieur, nous aurions probablement choisi cette alternative. Si vous êtes intéressés, n’hésitez pas à aller voir le blog du Monde de Tikal, ils ont eux-mêmes raconté l’isolation de leur van, avec le multicouches.
Nous avons également vu que de nombreux vanlifers choisissaient les laines, qu’ils intercalaient dans les interstices. Nous n’avons pas de retour personnel sur ce choix, mais après discussion avec des professionnels, il semble que les laines ne tolèrent pas bien l’humidité et les vibrations, nous avons donc écarté cette option.
3. Le contreplaqué de peuplier :
Nous avons installé du contreplaqué de peuplier au-dessus de la couche isolante sur les parois. Nous avons sélectionné des plaques spécifiquement traitées pour les milieux extérieurs, afin d’avoir un bois qui résiste le plus possible à l’humidité.
Pourquoi le contreplaqué de peuplier ?
Les + :
Son poids : parmi les différents bois disponibles, le contreplaqué est un des plus légers (proportionnellement à sa résistance évidemment !)
Facile à installer et à découper : une bonne scie sauteuse et de la patience afin de couper droit, et le tour est joué.
Pouvoir isolant du bois
Sa flexibilité
Les - :
Son prix
Il n’est pas ignifuge
Comment avons-nous posé le contreplaqué ?
Il se présente sous la forme de panneaux de 5 mm d’épaisseur et est vissé directement aux tasseaux utilisés pour encadrer le polystyrène. L’épaisseur des tasseaux permet de laisser une fine couche d’air entre le polystyrène et le contreplaqué (nous aurions souhaité une couche plus épaisse que les quelques millimètres restants, mais de nouveau, il nous fallait faire un choix par rapport à l’espace disponible à l’intérieur de Sven).
Nous avons ensuite appliqué une lasure blanche pour le traiter (en plus du traitement de base) mais aussi par souci esthétique. Au sol, nous avons posé une planche de contreplaqué également, mais cette fois de 12 mm d’épaisseur, plus résistante, mais également pour le pouvoir isolant du bois en lui-même. En effet, la majorité du froid arrive par le sol et les vitres.
4. Le lambris de sapin blanc :
Pour le plafond, nous avons suivi la même approche que le contreplaqué mais avec des lattes de lambris en sapin blanc. Celles-ci nous permettent d’épouser parfaitement l’arrondi du plafond, mais également de donner un aspect chaleureux à l’intérieur de Sven.
Pourquoi le lambris de sapin ?
Les + :
Son poids : le lambris 8 mm est très léger (beaucoup plus que du bois de palette par exemple)
Facile à installer et à découper, sauf dans les angles quand la latte est trop large (on parle par expérience …)
Pouvoir isolant du bois
Les - :
Son prix
Non traité, il nous a fallu appliquer une couche protectrice sur le bois afin de le protéger de l’humidité.
Fragile : il faut faire attention, on peut facilement faire de petits coups dedans lorsqu'il n'a pas été traité.
Comment avons-nous posé le lambris ?
Latte par latte, nous sommes venus les visser dans notre structure en tasseaux. Nous avons veillé à ce que l’espace entre ceux-ci ne soit pas supérieur à 60 cm pour permettre une bonne fixation du lambris et éviter qu’il ne se plie ou ne se casse. De plus, les lattes s’emboîtent les unes dans les autres, ce qui permet de solidariser l’entièreté du plafond.
Aération et ventilation de notre van
Comme dit un peu plus haut, une bonne isolation est importante, mais pour éviter les problèmes d’humidité, une ventilation adéquate est tout aussi importante (voir plus importante encore).
Quelles aérations pour Sven ?
Sven possédant déjà bon nombre de fenêtres, nous avons choisi de ne pas poser de lanterneau pour l’aération sur le toit car nous ne manquons pas de luminosité. Nous nous sommes donc tournés vers un champignon sur le toit et une grille (30 cm x 10 cm) en bas de la portière. Ces deux aérations combinées devraient donc permettre une bonne ventilation de l’intérieur du van.
Selon la taille du van, la taille des aérations doit être adaptée. Nous nous sommes basés sur les informations fournies sur le blog de mon fourgon aménagé afin d’avoir une idée du strict minimum nécessaire pour la ventilation de Sven. Même si nous ne sommes pas concernés par la norme vasp, c’est toujours intéressant de savoir ce qui est demandé normalement. N’ayant pas de gaz fixe et l’espace intérieur de Sven étant assez restreint, nous n’avions donc pas besoin de très grandes surfaces d’aération.
Comment avons-nous posé nos aérations ?
Pose de la grille d’aération : Rien de compliqué en soi, percer un trou dans la tôle de la portière, et venir y fixer la grille. Cependant, Sven devant faire un petit tour au garage nous leur avons demandé de poser la grille pour nous. En effet, nous avions repéré une zone de la carrosserie qui, sûrement pour cause de rouille perforante, avait été remplacée et ressoudée dans le bas de la porte coulissante. Cela nous paraissait donc opportun d’enlever cette partie ressoudée et d’y fixer notre aération à la place, et des professionnels allaient certainement faire ça mieux que nous…
Pose du champignon : Nous avons choisi le champignon vendu par Serial-Kombi, de la marque Dometic modèle GY20 qui correspond au modèle original que l’on trouvait sur les T3 westfalia à l’époque. Pour cela, nous avons donc découpé un trou de 13 cm dans la rehausse de Sven. Nous y avons ensuite glissé l’aérateur de toit, et l’avons fixé avec un joint de Sikaflex ainsi qu’une armature en bois à l’intérieur (notre toit ne fait que 5 mm d’épaisseur, tandis que l’aérateur est conçu pour des toits de 25 à 45 mm). Une fois celui-ci posé, nous avons placé un conduit de hotte entre l’aération et le lambris, que nous sommes venus finir par une grille de plastique collée sur le lambris. Notre plafond n’étant pas droit, il était compliqué de venir directement fixer le champignon sur le lambris, et cela nous a donc paru la solution la plus appropriée.
Quel budget pour isoler son fourgon ?
La question du budget est bien entendu quelque chose d'important. En effet, lorsque l'on choisit d'aménager son van, soi-même ou par un professionnel, il faut se préparer à faire chauffer son compte en banque. Cependant, il y a toujours moyen de couper un maximum dans les dépenses en faisant de la récupération, et en cherchant les bons plans (leboncoin, marketplace de Facebook, groupes d'entraide, ...).
On vous met donc ici un petit récapitulatif de ce que nous aura coûté cette isolation, qui ne sera certainement pas la moins chère que vous trouverez ! Nous n'avons pas eu l'occasion de faire beaucoup de récupération, et n'avons pas toujours fait les achats les moins chers (peu/pas de commande en ligne, etc).
Pose du liège : +-360 €
Pose des tasseaux et du polystyrène extrudé : +- 140€
Pose du contreplaqué et du lambris : +- 210€
Pose des aérations : +- 42€
Budget total : +- 752 €
Isoler son fourgon est-ce difficile ?
Alors la réponse est non ! Ce n’est pas très compliqué. Un peu de bon sens et beaucoup de patience auront été les clés de cette première partie.
Cette isolation occupe finalement un peu moins de 4 cm de chaque côté ce qui reste assez négligeable. C’est vrai que la couche d’isolation n’est pas épaisse, mais il nous fallait trouver un compromis entre efficacité et espace disponible.
Notre isolation n’est donc certainement pas parfaite. De plus, nous ne sommes pas des professionnels, et nous avons sûrement dû rater un petit coin par ci-par là, mais on a fait de notre mieux, et on espère que cela suffira !
On vous laisse avec quelques photos des travaux terminés et le lien vers notre petite vidéo sur Youtube. N’hésitez pas à aller jeter un œil dessus 😊
A très vite,
Clem & Quent
Bonjour, petite question, les tasseaux au sol par dessus le liège c'est obligatoire ? Est ce qu'il n'est pas possible de poser le polystyrène extrudé par dessus et l'OSB par dessus ? Car si l'OSB est bien découpé piles aux bonnes dimensions avec un coup de joins tout autour + des aménagements, le sol ne doit pas bouger. Un coup de double face autocollants à quelques endroits au cas ou et le tour est joué normalement non ? Merci :)
Hello à vous deux! J'ai commencé à suivre votre aventure car nous sommes aussi en train d'aménager un van pour partir à l'aventure, mais plutôt ponctuellement pour nous :) J'essaye de me renseigner sur le sujet vasp mais je ne vois que des informations qui concerne la France, d'après ce que je sais nous n'avons pas ça en Belgique. Etant donné que vous êtes également belges je voulais savoir comment vous aviez procédé par rapport au contrôle technique, est-ce que vous avez dû faire des démarches ou est-ce qu'il est simplement passé comme un véhicule utilitaire ?
Je vous souhaite plein de belles aventures votre blog est vraiment chouette :)